Cliquez sur les vignettes pour en savoir plus sur les ouvrages….
Le monde juif avant guerre
Quand Shlemiel s’en fut à Varsovie, I. BASHEVIS SINGER
Contes Yiddish de Chelm à Varsovie
L’exclusion
La femme du bouc émissaire, A. DESARTHE
Maître Shkaf, l’instituteur, n’en peut plus. C’est l’été, il fait trop beau, les enfants refusent de travailler, ils chahutent et ne l’entendent plus, même quand il crie. Et puis, un jour d’orage, Maître Shkaf se met réellement en colère, parce que la classe persécute Michail. Le maître tonne et menace, mais il voit que les enfants ne comprennent pas pourquoi il est si fâché. Alors il leur dit de sa voix douce et timide habituelle : Je vais vous raconter une histoire de Bouc Emissaire. L’histoire de l’unique Bouc Emissaire du Monde Entier – et de sa femme. C’est quoi, un bouc et misère ? dit Denis. Une histoire pour tous les gens intelligents. Une histoire tellement belle et enthousiasmante que les enfants veulent créer un club de Boucs Emissaires.
Les camps d’internement en Frane
Je ne suis pascontagieux, G. TCHERNIA
Peut-on être obligé de cacher sa religion ou ses origines ? Peuvent-elles être considérées comme une maladie contagieuse et honteuse dont on pourrait être puni par l’emprisonnement et la mort et dont on ne doit jamais parler ? L’énoncé même de ces questions nous révolte. Pourtant elles se sont posées il n’y a pas si longtemps, lors de la Seconde Guerre mondiale, à la tragique époque où l’occupant nazi s’était donné comme but l’organisation de l’extermination des Juifs d’Europe et d’autres minorités, bénéficiant en France de la complicité du gouvernement de Vichy. Ce livre est le témoignage véridique du cauchemar vécu par un enfant qui a échappé de justesse à la déportation et à la mort. Méditons les leçons du passé et prenons garde au présent pour préserver l’avenir.
Les « enfants cachés »
Kakine Pouloute, N. BRISAC
» Papa a dit :
– Ils arrêtent tous les Pouloutes.
Sa voix n’était pas du tout rassurante. Maman aurait dû pleurer, mais j’étais là, elle n’a pas pu. Etre arrêté. C’est comme la montre de Papy quand elle s’arrête. Après, elle ne marche plus, le temps s’arrête. Etre arrêté… On ne peut certainement plus
marcher. On peut s’arrêter de vivre, je le sais. Pendant quelques jours, ils n’ont plus rien dit. »
Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.
La guerre de Robert, R. CAUSSE – Théatre
ROBERT JEUNE. – Dans la solitude,
je répète » Robert Wohl « .
Je veux rester le fils de mon père.
J’appelle mes parents…
ROBERT ADLULTE. – Leur absence
est un point qui brûle.
Tu murmures leur nom,
sans savoir qu’il te donne forge et courage.
Deux voix entremêlées, celles de Robert jeune et de Robert adulte. nous content la vie d’un enfant de déporté, enfant juif caché et sauvé, dans la tourmente de la guerre. Une histoire vraie écrite avec la sensibilité de Rolande Causse.
La véritable histoire de Myriam, A. POWEL et C. PERRET
Myriam vit avec ses parents en région parisienne. Elle ignore quasi tout de ce qui se passe en France depuis l’occupation allemande. Jusqu’à ce qu’un soir, ses parents soient arrêtés par la Gestapo. Commence alors pour elle un long périple à travers le pays pour retrouver son frère, réfugié en zone libre. Ce récit est prétexte à découvrir la vie quotidienne pendant la Seconde Guerre Mondiale et la condition des enfants juifs. L’histoire raconte les espoirs et déboires de l’héroïne, ses rencontres émouvantes, ou effrayantes. Le lecteur prend conscience que les Français sont » divisés en deux » : ceux qui protègent et ceux qui dénoncent.
Les justes, Je lis des histoires vraies n°156
La shoah en Europe
Les arbres pleurent aussi, I. COHEN-JANCA
«Un arbre, c’est une source d’énergie, de vie et de beauté.»
Laurent Greilsamer, Le Monde, 9 octobre 2007
150 ans, c’est une courte vie pour un marronnier.
Menacé par les parasites qui le rongent, l’arbre se souvient de la vie trop courte de cette jeune fille qui vécut deux années clandestines au 163, Canal de l’Empereur.
Par sa lucarne, elle l’observait et décrivait dans son journal ses transformations au fil des saisons, signe que le temps passait et que, dehors, la vie continuait…
Elle s’appelait Anne Frank, c’était à Amsterdam, pendant la Seconde Guerre mondiale.
Au marronnier, maintenant, de raconter son histoire.
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